28 février 2010

Jouer aux fléchettes avec son cul...

1528 - "Olé"...

Superbe illustration de Carlo, en provenance du livre SM "l'inquisiteur moderne", de Juana Lapaz. C'est un vieux bouquin écrit il y a des lustres (1933) par un auteur de la "collection des orties blanches" sévissant sous un pseudo...

Un toréador assez féminin, une petite señorita aux dessous affriolants...

Mais j'ai beau apprécier et comprendre l'engouement qui existe autour des corridas, avec modération, il ne me viendrait pas à l'idée d'utiliser des banderilles (le mot commence pourtant bien) pour piquer les fesses ("châtier", en langage tauromachique...) d'une dame avant la "mise à mort"...

Fût-elle Espagnole ou Portugaise.

"Franchement, tu ne crois pas qu'il y a mieux à faire avec un cul ?"

Un bon copain me sortait toujours cette phrase précise quand je lui narrais mes histoires de fessées. Sans comprendre ma passion pour icelles. Lui, un baiseur compulsif sans fioritures ni préliminaires (basique, quoi...) trouvait ça stupide et sans intérêt, ne comprenant guère ces curieuses envies que j'avais de "toujours vouloir fesser les filles"...

Depuis, je crois qu'il s'y est mis un peu, sans conviction.

Parce que si ce n'est pas dans les gênes...
Dessin © Carlo

Près de 10 000 pages lues un samedi...

1527 - "Affluence record !"

Je ne sais pas ce qui s'est passé hier samedi, mais il y a eu comme un coup de chaud...

Le blog a été pris d'assaut: pour la première fois depuis sa création il y a quatre ans, on a frisé avec les 10 000 pages lues sur une journée.

9 415 exactement.

Quand même énorme et qui me rapproche encore un peu plus du seuil des 5 millions...

Alors oui, même si je le fais avant tout pour moi comme "premier lecteur", c'est impressionnant de se dire que des centaines de gens inconnus viennent du monde entier pour regarder ce qui n'était au fond qu'une sorte "d'exutoire - jardin secret - cher journal" personnel et forcément... indispensable.

Merci.

White cheeks, pink ass, Red Charls !

1526 - J'ai forcément de temps à autre utilisé pour illustrer mes élucubrations fessières des photos de Red Charls, qui sont sur le sujet fessée sans doute celles dont je me sens le plus proche.

Au-delà de la subtilité du jeu de mot...

En clair, je veux dire que j'aurais pu les faire, si on parle là sensibilité et non technique pour laquelle je ne suis équipé que d'un petit numérique...

Au pire, s'il le fallait, je m'outillerais. J'ai déjà les mains...

Manquera juste un truc essentiel évidemment: les modèles...

Il y avait un petit moment que je n'étais plus allé visiter ses galeries de photos. Il y en a, me semble-t-il, trois fois plus que l'an passé !

Mais où diable trouve-t-il donc toutes ces dames que l'on voit sur ces images, toujours esthétiques et osées, mais jamais vulgaires ? Il faudrait que je lui demande ça, une petite interview, sans doute, pour en savoir plus sur les motivations des acteurs/trices.

Enfin, les siennes, je me doute, intéressons-nous plutôt à celles des filles qui viennent ingénument jouer des fesses devant l'objectif du photographe... Parce qu'il y en a des dizaines, apparemment. Pourquoi, comment ? Je ne crois pas avoir lu qu'il les paye...

D'où viennent-elles et quel intérêt personnel trouvent-elles dans cette exposition virtuelle ? Plein d'interrogations...

On lit dans ses images une tendresse palpable, quelle que soit l'incongruité de la scène qui voit des demoiselles déculottées se tordre sous les lanières d'un martinet, d'une trique ou simplement à la main pour être empourprées du cul dans un superbe envol de jupes...

Et dans un anonymat respecté, au travers de cadrages adéquats.

Il y a une série prise au jardin public qui me fait sourire, parce que j'ai déjà un peu approché l'idée de temps à autre... Tout en évitant les voyeurs dont les motivations glauques ne sont pas les miennes et n'apportent pas grand-chose à l'histoire. Je n'ai pas vocation à nourrir les frustrés et les obsédés qui rôdent dans les bois...

Si vous ne connaissez pas son travail, c'est le moment de découvrir...
Images © Red Charls

Manger des tartes en jouant avec les mots...

1525 - "Attends un peu qu'on rentre…" qu'il a chuchoté avec un petit sourire, en se penchant vers elle. Menace conditionnante, préventive, même... Elle sait ce qu'il veut dire…

Un samedi... Salon de thé quasi désert, en plein milieu de l'après-midi. Ils sont en train de déguster des tartelettes choisies avec attention, si appétissantes derrière la vitre du comptoir de cette pâtisserie de la grande rue qu'il leur a été impossible de résister. Et puis il est presque seize heures, c'est à la fois le repas et le goûter. Ils se sont levés tard après avoir fait l'amour tendrement au petit matin une première fois, traînant ensuite au lit avec le petit déjeuner.

Puis un bain dans la grande baignoire où elle babille et lui raconte plein de choses, en se délassant toute nue sous son regard attentif…

Du coup ils ont quitté l'hôtel pour une promenade en amoureux tous les deux dans cette belle région qu'ils écument à chaque fois qu'ils se voient - pour quelques heures ou quelques jours - vers midi seulement...

Elle lui jette un œil vaguement inquiet à la dérobée en se mordant la lèvre inférieure, reprenant la discussion comme si elle n'avait pas entendu, mais avec un clignement nerveux de la paupière qui montre son trouble soudain…

Ce salaud attend que la serveuse revienne avec les cafés pour poursuivre son idée. "Je sens bien que je ne t'ai pas assez fessée hier soir, ma chérie. Cette nuit je vais arranger ça, crois-moi !"

Là, elle pique un fard et le nez vers son assiette. Puis le fusille du regard sitôt que la petite serveuse repart vers le comptoir après avoir déposé une autre tournée de gâteaux et de thé, rouge comme une cerise elle aussi, faisant semblant de ne pas avoir entendu…

"Tes fou ! Tu… Tu crois qu'elle a entendu ?"

Il sourit. "Sans doute. Quelle importance ?"

"Je… Ça me gêne, quand même…" reprend-elle doucement sans le regarder.

"Mais non, tu adores ça. Et puis, ça fait partie du jeu non ?"


Elle se tait.

"Réponds !" le ton est un peu plus impérieux, le sourire figé.

"Je… Oui, sans doute…"
Elle bafouille un peu, manquant de s'étrangler avec sa tartelette à la rhubarbe… Il termine son café en la regardant. Mélange de tendresse et de sévérité joueuse…

Et puis, ils repartent, la main dans la main, assez joyeux. Il n'y aura plus d'alertes. Ce n'est plus nécessaire. Désormais, elle sait, il l'a prévenue.

Ce soir, dans la nuit, à un moment qu'il aura décidé, elle ne sait pas quand, mais ça viendra, c'est certain: elle recevra une bonne fessée. Une vraie correction de mâle à sa femelle, quand la porte se sera refermée sur leurs amours…

Peu lui importe qu'on les entende.

De toute façon, le hasard de la réservation leur a donné une belle chambre un peu à l'écart, au fond du couloir et en bout d'aile, assez loin des autres clients. Il l'a souligné en riant dès leur arrivée, en présence de la réceptionniste, blasée et regardant ailleurs, mais la faisant blêmir un peu plus, à nouveau.

Comme par un fait exprès, ils peuvent faire du "bruit" sans gêner personne.

Ce mot "magistrale" qui lui fait peur mais l'émoustille et la trouble en même temps, il l'a prononcé à deux reprises. La faisant doucement frémir d'aise. Oui, elle a besoin qu'il soit enveloppant, présent, qu'il s'impose et la "domine", même… Elle sourit en évoquant le mot qui dans la vraie vie lui déplait souverainement mais dans ce contexte lui picote le ventre agréablement.

Elle aime qu'il l'entraîne, qu'il l'emmène loin. Un peu au-delà de ses limites, juste sur la tranche, le fil du rasoir… Un peu plus que ce qu'elle attend pour lui couper le souffle. Et elle sait qu'il va le faire.

Ils sont rentrés. La nuit est tombée, avant le dîner. Elle est un peu fatiguée de la balade, s'allonge sur le lit où il la rejoint pour un instant de douceur et de calme, tandis qu'elle se pelotonne contre lui…

…et s'endort presque immédiatement.

Il la regarde dormir, un peu agacé, un peu amusé aussi.

De toute façon, il faudra bien qu'elle se réveille, la belle au bois dormant…

27 février 2010

Retour inopiné...

1524 - "Henri ! Qu'est-ce... ? !" Hé ouais, mon pote, pris sur le fait...

Madame est rentrée un peu trop tôt, avec des fleurs, en plus...

Du coup, l'Henri se fait gauler en pleine séance SM avec une cagoule sur la tronche en train de farfouiller avec un manche à balai dans le trou du c... euh, le rectum d'une malheureuse bâillonnée et attachée dans une posture qui fait monter le sang à la tête.

D'ailleurs tiens, en parlant de ça, il ne bande pas, non plus.

Une fille qui au lieu de râler semble s'étonner de ce prénom ridicule.

Elle doit l'appeler "Maître", remarquez...
Dessin © ?

À la vitesse de la lumière...

1523 - "God Hand". C'est "La main de Dieu" et elle est plutôt lourde en l'occurrence.

Un jeu Playstation, de Capcom...

Bon, si l'éducation sexuelle des jeunes gens se fait à travers ce qu'ils voient dans les films pornos, on peut s'inquiéter de certains jeux vidéos de combat, à la conclusion sexuellement explicite. La fessée comme humiliation suprême. Danger ?

C'est un marronnier: on parle très souvent dans les médias de la violence des vidéos games et du fait que des jeunes plus malléables, laissés à eux-mêmes, sans référents ou à l'esprit faible, peuvent se voir influencer dans leur rapport à la mort, à la brutalité avec ces mêmes jeux de guerre, par exemple...

Le rapport à l'autre serait faussé, enfermés qu'ils sont dans leur monde virtuel et pouvant parfois - comme le démontrent de temps à autre de dramatiques faits-divers - se confondre avec le nôtre, celui de la vraie vie... Dans un monde où il n'y en a qu'une seule et où on ne se relève pas, une fois qu'on a été trucidé par son ennemi...

Je suis joueur depuis plus de 25 ans et s'il m'arrive de "tuer des méchants", voire de "mourir" en cours de partie, je sais que c'est pour de faux et je fais la différence sans souci... Il paraît que ce n'est pas pareil pour tout le monde. Violence, guerre virtuelle... On peut confondre, surtout quand les graphismes sont de plus en plus réalistes.

Quand à la fessée, voilà qu'elle prend place comme une prise de judo ou un combo de coups de pieds dans la gueule dans les combats virtuels à la Virtua Fighter. Plus de mandales dans la tronche ou de coups de poings dans le foie au cours des duels avec les filles, mais d'énormes fessées que le vainqueur - forcément un homme - donne à la perdante, jusqu'à l'envoyer valser à une dizaine de mètres, après une ultime claque...

"Dans God Hand, le résultat à l'écran est au moins aussi jouissif. Les combats, nerveux au possible, optent pour une excentricité synonyme de bad guys s'envolant à des kilomètres, de jeunes demoiselles qui se font fesser à la vitesse de la lumière ou de personnages ne manquant pas une occasion de se faire ridiculiser en se prenant des coups de pied dans les parties..."

Punition, humiliation suprême, déshonneur des vaincues, c'est toujours la femme qui est punie ainsi quand elle perd son combat... C'est japonais. Et les catcheurs américains qui s'en inspirent utilisent de plus en plus la même prise particulière: plutôt que de leur faire toucher le sol des épaules, ils préfèrent à la place fesser sous le bras les lutteuses filles qu'ils affrontent, sous les rires de la foule. C'est ça, battre son adversaire ?

On est loin de mon fantasme fin de siècle... Jugez plutôt.

Postures différentes...

1522 - Tiens, pour revenir au sujet de base. Quelques images de Sara corrigée par Mike qui me font réfléchir, en provenance directe du site Real Life Spankings... Dont la fameuse position du diaper.

Diaper ? C'est les couches de bébé, littéralement. D'où le nom de la position... Alors, la demoiselle garde les jambes relevées, en l'air comme pour être changée, mais c'est avec la main ou tout autre instrument que ça se passe pour lui claquer les fesses...

Après pour le talc , c'est vous qui voyez...

J'ai déjà "pratiqué" ainsi de temps en temps, mais ma posture préférée, c'est toujours sur mes genoux, au final. Une sorte de cérémonial, de passage obligé dans ma sexualité de dévoyé... Ou encore, la prendre sous le bras, avant de la déculotter comme une gamine rageuse...

Quand à la dernière image, parle-t-elle à certaines filles, ou bien est-ce trop axé punitif et moins érotique que d'envoyer sa partenaire au coin après une bonne fessée ?

J'avoue que là encore j'ai peu agi de la sorte avec mes compagnes dont le punitif n'était pas le moteur principal, même si la vision est plaisante.

Pour lui.

Mais il me semble que les filles qui ont été corrigées et bien fessées, quel que soit le "scénario" du couple dans l'instant partagé, ont ensuite bien plus besoin des bras de l'homme et de ses phrases de réconfort dans le creux de l'oreille que d'aller au coin et la culotte baissée, comme une gamine punie.

Quoi que, ça peut se défendre...

En selle, les filles !

1521 - "Montez à cheval... à la maison !"

J'adore ce genre de publicités anciennes... La maison Vigor de Londres, 21 Baker Street (l'adresse de Holmes !) invente en pleine époque victorienne une drôle de machine, le Horse-action saddle, un truc "recommandé par la Princesse de Galles" pour que les amazones anglaises puissent en toute impunité et par tous les temps faire de l'équitation... mais pas au manège, dans leur chambre.

Home trainer avant la lettre. Finalement comme les appareils qu'on trouve chez Décathlon...

Oui, avec Trot Canter Gallop, c'est la classe:

Car qu'il pleuve, qu'il bruine, ou encore en dépit du brouillard (euphémisme britannique) ou même pire, qu'il n'y ait pas de cheval, (c'est vrai qu'en appartement, ce n'est pas simple) on vous assure, mesdames - ou plutôt Ladies - que ça vous apportera autant de bonnes choses qu'une vraie balade en forêt sur le dos d'un équidé.

Petits oiseaux, renards et sangliers en moins...

Et quand on lira dans l'argumentaire:

... "que les organes vitaux sont revigorés par l'action de la machine, que ça agit directement sur la circulation sanguine tout en prévenant des problèmes de foie, voire que ça empêche l'obésité" ou pire chez les dames, cette maladie "exclusivement féminine" très en vogue que les médecins de l'époque nommaient "hystérie"... On ne peut qu'être convaincus.

Pour calmer une hystérique ? Pas besoin d'une machine... Encore que si celle-ci en plus attendrissait la peau, une sorte de préparation à la fessée...

More and more, mi amore...

1520 - Assez drôle pour être signalé, avec un nom pareil...

Pour les non-anglophones, "spank me more" signifie "fesse-moi davantage"...

Ce n'est pourtant pas le logo évocateur d'un site érotique que je vous présente là, mais bel et bien le label d'une... maison de disques bruxelloise.

Aucun rapport...

Nos voisins Belges ont souvent un côté iconoclaste très agréable et rafraichissant, ce sont vraiment des gens que j'aime bien...

Leur label existe depuis un an. Et comme ils disent :

"Les autocollants Spank Me More Records sont fabriqués dans un but promotionnel et sont distribués gratuitement à cet effet, notamment lors des événements que nous organisons.

Spank Me More Records vous rappelle de respecter la règlementation en vigueur en matière de "propreté publique". À ce titre, ne collez pas les autocollants Spank Me More dans des lieux publics non autorisés à cet effet en rue, sur du mobilier urbain, des poteaux ou autres panneaux de signalisation... Merci de ne pas commettre d'incivilités et de respecter votre environnement !

Spank Me More Records
décline toute responsabilité quant au non-respect de la règlementation en matière de propreté publique par des tiers qui feraient un usage non-autorisé des autocollants Spank Me More Records."
merci à l'ami Escobar qui en a causé et m'a permis de répercuter...

26 février 2010

Good bye, my friend...

1519 - Alex Birch...

Un blogueur british dont peut-être vous lisiez en anglais les textes spanking et BDSM finement ciselés. Il était également auteur de nombreuses nouvelles pour les revues Februs et Janus, sous le nom de Paul Melrose...

Le dernier de ses récits datait du 21 janvier dernier, mais malheureusement il n'y aura pas de nouveau post sur "a Taste of the Birch"...

... Car "Alex", ou plutôt celui qui utilisait ce pseudo, vient de nous quitter emporté par une sale maladie, hier soir, à Birmingham... Sans le connaître, j'avais échangé avec lui quelques mails empreints de cordialité...

Ça me fait penser qu'un jour peut-être ce blog s'arrêtera sans crier gare pour les mêmes raisons.

Au fond, un pseudo, qui se cache derrière ? L'anonymat du net fait que celles et ceux qui me lisent - à part deux ou trois personnes qui savent pertinemment qui est l'auteur de ces lignes - l'ignoreront sans doute, puisqu'ils ne me connaissent pas... Tout juste s'étonneront-ils de ne pas voir apparaître de nouveaux messages...

Personne n'est irremplaçable, notez.

23 février 2010

French girl(s) spanked "à l'anglaise"...

1518 - "Petite annonce"...

Vous avez jusqu'au 14 mars, mesdames...

J'ignore s'il y a déjà des filles volontaires pour tourner comme spanking model avec l'ami Andrew de Sound Punishment.

Je vous rappelle qu'il recherche des petites Françaises qui veulent vivre une expérience "fessée à l'anglaise" et se retrouver sur son site aux côtés des stars anglaises et américaines du genre...

Tournage fin avril lors d'un séjour dans le nord de la France. Ça se passera à Hesdin, dans le Nord-Pas-de-Calais... Il préfère des demoiselles entre 18 et 30 ans, capables de s'exprimer en anglais.

C'est payé. Je n'ai pas demandé combien. Pour le contact, c'est là. Ou avec moi... qui transmettrai, évidemment.

Amber et Anna, à cul dans le miroir...

1517 - Parfois au détour de milliers d'images vues sur les sites de fessées et qui se ressemblent toutes, on tombe sur une, dont le cadrage et ce qui s'y passe laissent libre-cours à l'imaginaire.

Une ambiance, une teinte, une idée graphique...

J'aime celle-ci, par exemple, prise au cours d'une session de jeux entre filles, et trouvée chez Amber Dawn... Les fesses luisantes d'Anna (un liquide ? de l'huile de massage ?) et cet effet accentué de rougeurs quasi passées au pinceau, tant la teinte est délicate...

On dirait des fesses en plastique, du coup...
Image © SpankAmber

Et si LA femme...

1516 - ... Prenait le pouvoir ?

"Women power" ? C'est la marotte du dessinateur anglais Sardax. Il en faut pour tous les goûts. Sur les six au-dessus, laquelle est la vôtre ?

On est certes assez loin d'une "simple" fessée manuelle comme j'aime...

Mais il va bien falloir que je vous parle par l'exemple des obsessions graphiques de ce surdoué du dessin BDSM, un de ces jours. Là, ce sont les hommes qui trinquent. Pour une fois...

Alors parfois, c'est vrai qu'on se sent tout petit. Chacun son tour !

Dessins © Sardax

22 février 2010

Monument-souvenir !

1515 - Marignan, non ?

Date serinée et apprise une fois pour toute à l'école au même titre que les tables de multiplication et qui donc reste imprimée à tout jamais dans la mémoire... Ma mémoire.

C'est le cas pour certaines dates importantes, anniversaires et autres moment-clés... Juste pour ne pas oublier le 22 février.

Au moins, fermez bien la porte...

1514 - "Tu faisais quoi avec l'ordi ?"

Avouez-le. L'informatique a changé nos vies sexuelles...

Se faire gauler en train de communiquer avec une cam, de se branler ou de vivre n'importe quels trucs sensuelo-sexuelo onanistes virtuels par écran interposé, ce n'est jamais très plaisant. Que l'on soit homme ou femme.

Sentiment de culpabilité, sans doute ? Jardin secret, c'est clair... Autant prendre garde à bien fermer les fenêtres (des applications) et ne pas laisser traîner ses mots de passe. Je connais plusieurs imprudent(e)s à qui ça a coûté assez cher de ne pas cloisonner leur double-vie.

Ça n'en vaut pas toujours la peine...

Portable et SMS sont aussi causes de divorce plus souvent qu'à leur tour...

Une de mes copines en a fait l'amère expérience lors d'un décrochage automatique de son portable, pourtant au fond de son sac.

Sans qu'elle le sache, le foutu truc a servi de micro-espion, son mari qui tentait de la joindre entendant ainsi sa douce épouse irréprochable "tu sais, chéri, au fond je crois que je ne suis pas passionnée par le sexe" se comporter en bonne petite pute et le revendiquer à voix haute de surcroît, en compagnie d'un enfoiré non identifiable au premier abord, avec ses grognements de bête en rut en fond sonore...

Si encore ça avait été avec une fille, monsieur se serait fait jouir sans vergogne de l'autre côté du téléphone, croyez-moi... Mais là, un homme ! Ah, la saloooope !

Bon, oui, elle avait fort imprudemment laissé ses écouteurs mains-libres branchés sur son portable lors d'un 5 à 7 torride, toute une après-midi passée en grande partie en levrette à l'hôtel avec le meilleur ami du couple, ravi de déniaiser l'épouse soi-disant fidèle...

Et toute à sa passion, aucun des deux n'avait entendu l'appareil sonner deux fois dans le sac à main posé au pied du lit... avant de décrocher tout seul comme un grand.

Lui (le pauvre mari marri) voulait juste lui demander de penser à ramener le pain en rentrant du bureau... Une baguette, bien cuite ?

Pas de jugement de valeur ici, on a tous nos petits secrets plus ou moins protégés, moi autant que les copains et je ne vais pas jouer les moralistes, "faudrait, y'a qu'à"..

... Juste un pense-bête. Et s'en remettre à la plus élémentaire prudence pour ne pas créer des quiproquos fâcheux qui peuvent bêtement dégénérer entre réel et virtuel...

Si encore la fessée conjugale pouvait régler ce genre de conflits, tiens...

Parce que là, sur le dessin que j'ai trouvé pour ce billet d'humeur, quand on connait les œuvres de Sardax, monsieur est assez mal barré.

Ses fesses aussi.
Dessin © Sardax

Les folies de Mona...

1513 - Elle s'appelle Mona Street.

Née sous la plume et les pinceaux de Leone Frollo, Mona est une jeune femme délurée que le dessinateur italien fait vivre au long de trois albums paru voici plus de vingt ans déjà.

Le trait est élégant et précis, l'érotisme sulfureux reprend tous les gimmicks du genre. La fessée fait partie du jeu...

On connait tous Manara ou encore Serpieri, mais Frollo - pourtant foutrement doué lui aussi - est moins cité quand on parle de BD érotique venue d'Italie.

Je ne connaissais pas très bien, je l'avoue.

Bien entendu, j'avais vu de temps à autre des illustrations couleurs de l'artiste qui va sur ses 80 ans et a une carrière bien remplie...

Il y a quelques années, j'avais déjà commis un post avec des lavis et des aquarelles plutôt troubles de Leone. Découvrant à cette occasion qu'il avait illustré Lucifera, dans les années 70.

Mais son œuvre majeure reste Mona...

... Dont voici quelques pages qui vous donneront sans nul doute envie d'en savoir davantage.

Dessins: "Mona Street" © Leone Frollo - 1988

21 février 2010

Petits jeux à trois...

1512 - L'idée d'un trio pour une double fessée reste un fantasme, et rien d'autre. Mais ce dessin - qui je crois est de Dave Wolfe - me plaît assez...

Une nuit de débauche d'il y a euh... des lustres, lors de ma folle jeunesse... s'est passée avec deux amies fort délurées. Et j'ai bien cru cette fois que j'allai céder à mon penchant favori en en fessant une devant l'autre et vice-verso. Euh, versa !

Mais que nenni ! Les deux copines étaient totalement réfractaires à l'idée de fessée, érotique ou non. Pas leur fantasme. Juste le mien. On s'est donc contentés de caresses et de plaisirs plus... "pénétrants".

Mais c'était pas mal quand même...
Dessin © Dave Wolfe

Défense de fumer...

1511 - "No smoking, please !"

Je crois qu'elle se plaint: OK, les panneaux sont clairs, on ne fume pas, elle s'est fait gauler et punir, c'est la règle. Mais selon elle, du coup, ça fait deux poids - deux mesures... puisqu'en la fessant vigoureusement, le policier fait "fumer" son cul alors que c'est interdit. La fumée est indisposante... Celle-là me gêne moins, j'avoue.

Je n'aime pas les fumeuses.

Outre le fait que cela me procure l'impression déplaisante d'embrasser un cendrier, l'odeur me gêne, ça imprègne les fringues, les murs, l'atmosphère, ça me pique les yeux et je n'évoque même pas les risques du tabagisme passif.

J'ai eu de la chance: toutes celles qui ont partagé des instants de vie (et plus si affinités) qui fumaient, ont toujours eu la délicatesse de ne jamais le faire en ma présence. Au prix d'acrobaties singulières.

Pour l'une d'entre-elles, je ne l'ai découvert qu'au moment de notre rupture, après quatre années de liaison. Certes on ne se voyait qu'irrégulièrement quelques jours seulement par mois, habitant loin l'un de l'autre et pris chacun dans "d'autres vies", mais elle avait réussi à s'en priver lorsque nous étions ensemble pour ne pas m'indisposer... Même sur une semaine de temps et "l'un sur l'autre" (sic) 24 heures sur 24...

Au fond, ça aurait été un excellent motif de punition. Ou d'incitation à stopper. Une sorte de cure de désintoxication par la fessée...

D'ailleurs... Il faudra que j'y pense.
Dessin © Dave Wolfe

Blanche-Fesse !

1510 - Je déteste Blanche-Neige, hein...

Cette nunuche bouffeuse de pommes avec ses gentils petits amis les écureuils et ses sept demi-portions libidineux qui veulent tous se la taper, en levrette et "Heigh-Hi, Heigh-Ho" en rentrant du boulot...

C'est sûr que je lui préfère de loin la Fiona de Shrek...

Du coup, un petit conte de fée... Sans commentaires.

Fesses colorées...

1509 - On a déjà parlé des dessins de Dan DeCarlo, qui datent des années 50, une époque où forcément on ne dénudait pas les derrières aussi aisément, censure oblige...

Slip de rigueur, du coup.

Sur le dessin original de l'Américain, madame porte donc évidemment une petite culotte...

Mais des petit malins dans mon genre qui savent manier les outils de retouche de Photoshop font parfois de petites trahisons sur les images originales, comme sur cette image un peu leste qui a été inversée, en gardant toutefois la signature, et sur laquelle la demoiselle se voit dûment déculottée d'un trait de palette graphique...
Dessin © Dan DeCarlo

20 février 2010

French spanking "modèles" en avril prochain ?

1508 - "Fessées, filmées, payées..."

S'il se trouve parmi mes lectrices assidues - et un brin aventurières quand même - des filles qui souhaitent vivre les frissons que ressentent les spanking models britanniques ou américaines, j'ai une solution toute trouvée...

Je reçois un mail d'Andy, ami anglais du site Sound Punishment qui m'adresse une demande originale, à vous de voir... Je vous traduis ça:

"Stan, je me demandais si vous pourriez m'aider par l'intermédiaire de votre blog...

Je suis Andrew, responsable du site anglais Sound Punishment en Angleterre.


Je me rends en France avec ma femme à la fin du mois d'avril pour quelques jours de vacances dans une villa à Hesdin, au sud de Calais. Alors joignant l'utile à l'agréable, je voudrais en profiter pour tourner une session "french girls" pour SP...

Je suis donc à la recherche de nouveaux modèles féminins, des jeunes femmes françaises qui aimeraient participer à un tournage vidéo fessée avec en parallèle, des photos pour notre site, en avril 2010, donc...

Du coup, nous aimerions prendre contact avec des Françaises de la région de Hesdin, ou d'ailleurs, attirées par l'idée.

Je précise que nous voudrions trouver des postulantes entre 18 et 30 ans, parlant un peu anglais de préférence, intéressées à l'idée de jouer des rôles d'écolières indisciplinées qui seront fessées et recevront la "canne anglaise"...

Bien évidemment il s'agit d'une prestation qui sera utilisée commercialement et donc correctement rémunérée.
Si vous êtes intéressées, mesdames, contact avec moi* par l'intermédiaire du site...

Mes excuses pour vous avoir écrit en anglais, mais il me faut avouer que mes compétences en français sont pratiquement inexistantes...
"

Alors, les filles ? Une expérience inédite que j'avoue avoir envie de suivre si certaines d'entre-vous y vont, un petit m@il pour nous tenir au courant et nous raconter de l'intérieur ?...

* (Ah et le contact, c'est avec Andrew, pas avec moi...)

PS: avec un second mail d'Andrew:

"Merci d'avoir rédigé cet article sur le blog, j'apprécie vraiment votre aide. J'ai précisé que si les participantes doivent pouvoir comprendre et parler un peu anglais, c'est parce que notre audience est principalement Anglo/US...

J'ai donné une adresse lien direct, il suffit de remplir le formulaire pour un contact. Ou de passer par vous, si vraiment ça ne vous dérange pas...

Mais ça peut s'arranger: on peut très bien envisager de faire notre tournage avec une Française qui ne serait pas bilingue, si vous pouvez venir vous-même et... nous servir d'interprète ce jour-là !"


Va savoir !