21 novembre 2009

En voiture Simone !

1315 - Une image style "comics" illustrant assez bien une anecdote personnelle lointaine. Certes pas dans une limmo comme sur le dessin, mais dans une 104 Z (voiture, pas mob quand même !) qui appartenait à ma maman. Laquelle me l'avait prêtée pour autre chose, évidemment. Me rendre service.

Effectivement réussi. N'ayant pas de "local" et après une soirée "désir" qui avait du mal à aboutir, nous nous sommes retrouvés sur un parking discret du tennis-club de la ville vers deux heures du matin.

C'est assez peu pratique et exigu, une petite auto comme ça. Il faut ouvrir la portière, pour pouvoir laisser les jambes de la dame gigoter en toute liberté. Mais en plein hiver... Dûment déculottée, voici la jeune femme calée en travers de mes genoux pour quelques claques bien senties qui nous donnent l'impression de résonner dans tout le club-house proche. Lequel s'allume.

Merd... Il y a un gardien. Le type intrigué sort avec son chien et sa lampe-torche, juste pour voir une 104 Z démarrer en trombe après un reculottage en catastrophe.

La soirée était finie.

Kate pourrait sans doute vous raconter une ou deux fessées plus réussies données en voiture, (à l'arrêt, quand même) lors de nos errances communes, dont une du côté de Bercy à la sortie d'un concert de "Paaaaatrick", mais aucune avec le confort de la banquette arrière d'une limousine avec chauffeur.

Donc la même que sur le dessin, oui, mais en "version française", du coup...

Et j'ignore qui a dessiné ça.

10 commentaires:

Amoureuse a dit…

La voiture, fantasme récurrent chez moi...et puis liée ainsi...un dessin qui a fait mouche. Je me sens bien énervée d'un coup...

Informer a dit…

The image reminds of the artist who drew several comic books for Nu-WestLeda many years ago. A few examples of this anonymous artist's work can be found at URL

http://boyzbeingboyz.com/comics.php?layout=normal

See 5, 7, 8, and 11 in particular.

All the examples at the above URL involve adults spanking children. Nu-WestLeda also issued comics that involved adults spanking adults but I don't have a link for any of the latter.

As far as I know, none of these comics are in print anymore.

Emma a dit…

beaucoup ont ce genre de souvenirs , j'imagine! ... nous aussi, sauf que , perdus dans les bois, on s'est jamais fait surprendre... de trés bons souvenirs si intenses qu'àprès la tempête de 99, en voyant une partie du massif forestier par terre , j'ai eu l'impression de perdre de vieux complices...

Amandine a dit…

Mince, Stan chez Paaaaatrick, encore un mythe qui tombe !
Ah non, c'est la Place des grands hommes, je pense... :-D

Stan/E. a dit…

Je crois que ça doit dater de près de 17 ou 18 ans déjà. Et pis j'étais invité par la miss qui avait pris les billets... Et pis c'était bien. Même si je préfère davantage l'homme en tant qu'acteur, tout en lui reconnaissant un talent et un charme évident(s).

Bon, ok, pas "marre de cette nana", hein...

Amandine a dit…

J'ai bien aimé Bruel dans "Le prénom", mais mon film préféré reste "L'union sacrée", plus pour Berry que pour Bruel d'ailleurs. Allez, j'avoue, j'adoooooore Richard Berry, et ça c'est vrai! Il se prend une fessée dans "Pédale douce", mais forcément c'était pas la position dans laquelle j'aurais préféré le voir :(

Stan/E. a dit…

Tiens, ça c'est drôle, j'ai toujours pensé que Berry avait pris des risques pour son image, avec cette fessée donnée par Bibiche, (l'acteur Arno Chevrier) dans ce film, pile au moment où le tout Paris du cinéma ne le voyait que comme un séducteur avéré. Mais le gars est connu pour aimer les risques...

Bruel est très bon aussi dans le dernier Arcady, ("les 5 doigts"...)

Constance a dit…

Dites, comme c'est un des rares endroits où j'entends pas de conneries sur Patrick Bruel, je peux vous remerciez chaudement?

(dans "Les cinq doigts de la main" il y a aussi une référence au martinet)

Stan/E. a dit…

Me souviens pas de ça... Mais j'ai beaucoup aimé ce film.

Constance a dit…

Je pense qu'il n'y a que des pervers dans mon genre qui tiltent à ce détail (id est, ceux que le martinet fait frétiller). A un moment, la mère des cinq évoque la difficulté d'élever seule cinq garçons (et même sans avoir encore eu d'enfant je crois que je la comprends) et elle conclut par "le nombre de martinets que j'ai usés..."